Sam 3 Avr - 21:52
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https://i.servimg.com/u/f18/20/32/58/28/oren12.jpg[/vignette][nom]Eytelkoph[/nom]
[prenom]Oren[/prenom]
[age]18[/age]
[sexe]Homme[/sexe]
[region]Oblivia[/region]
[orientation]Indéterminée[/orientation][/id]
[carac]Oren est un jeune homme impulsif qui cache derrière un sourire permanent son manque d’assurance. Marqué par un sentiment d’infériorité perpétuel durant de longues années, il n’a pas construit d’image de lui très positive. Derrière la familiarité de ses échanges, on retrouve un adolescent qui tente de cacher ses doutes aux autres aussi bien qu’à lui-même. Et pourtant, il essaiera toujours de faire ses preuves. Sans être casse-cou, il suffit de le mettre au défi pour lui faire courir tous les risques imaginables.
Et pourtant, derrière ses façons de faire abruptes et directes, se cache un garçon maladroit et empli de bonnes intentions. Il aime passer du temps avec les autres, ce qui lui manquait beaucoup lors des vagabondages de sa communauté lors du Cataclysme. La compagnie des Pokémons lui est toute aussi appréciable, il aime apprendre à les connaître et les aider à accomplir de petits exploits. Rien ne le rend plus fier que de contribuer à leur apprentissage de nouvelles capacités ou de s’attirer leur sympathie.
Hormis au sein sa petite communauté de nomades des mers, il n’a jamais établi de relation de longue durée. Il est habitué au changement, n’est pas matérialiste ou conservateur. Tout ce qui se commence un jour doit avoir une fin, et c’est dans cet état d’esprit qu’il a été élevé. Alors, bien qu’il n’eût aucun mal à s’intégrer aux enfants de son âge lorsqu’ils amarraient pour une longue période, il ne noua pas d’amitié profonde, parce qu’il savait qu’elle aurait une fin.
[/carac]
[desc]Lorsqu’on aperçoit Oren pour la première fois, il arrive d’être surpris. Très grand et bien charpenté, doté de cheveux roux et indisciplinés, les traits du jeune homme dégage une jeunesse et une certaine bonhommie qui contrastent étonnamment avec sa stature. Sa silhouette lui vient de la compétition qu’il mène avec ses frères : quand ses aînés brillaient sur les plans intellectuels, Oren a choisi de se démarquer par un physique largement plus développé. Cela fait partie de son identité, c’est ce qui le distingue de ses grands frères. Par conséquent, sans en être fier, il se ne cache pas non plus.
Il a beau être bien découplé pour quelqu’un de son âge, son visage expressif laisse facilement présumer qu’il s’agit plus de quelqu’un de dynamique que d’une personne agressive. Il parle fort, sa voix un peu éraillée porte, mais les intonations inhabituelles qu’il met naturellement dans son phrasé parviennent à le rendre sympathique à écouter.
Habitué aux températures des tropiques comme aux plongées dans la mer en hiver, il ne craint pas les températures froides ou chaudes, ce qui lui permet d’être toujours habillé avec des vêtements légers qui lui offrent une grande liberté de mouvement. C’est d’autant plus utile qu’il n’est jamais à l’arrêt. Il ne sait pas s’ennuyer, il trouve toujours quelque chose à faire.
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[story]Les frères Eytelkoph étaient bien connus au sein de leur petite communauté des nomades des mers. Non pas parce qu’ils étaient les trois fils du chef, mais parce qu’ils s’étaient tous illustrés d’une manière ou d’une autre.
Les trois frères étaient nés à Alola. Ils y avaient grandi, jusqu’à ce qu’une partie du Village Flottant largue les amarres pour partir voguer sur d’autres mers. Le plus jeune avait alors quatre ans quand le plus vieux en avait quatorze. La séparation avec leur terre natale ne fut pas vécue de la même façon par chacun. Quand l’aîné, Kristoff, s’était préparé à devoir partir un jour, les deux autres, Axel et Oren subirent une vraie déchirure. Ils firent leur entrée dans la vie de nomade des mers, allant d’un port à l’autre. Au cours de leur vie, ils s’arrêtèrent uniquement à trois endroits pour une période plus longue qu’une année : Alola, Hoenn et Oblivia. C’est d’ailleurs à Oblivia qu’Oren et Axel passèrent le plus long moment à terre.
La vie en communauté réduite, sur plusieurs semaines de mer, permit aux jeunes garçons d’être toujours encadrés et soutenus par les autres habitants. Ils étaient toujours le même groupe d’une quinzaine d’âme à voyager de ports en ports. Ils vivaient des produits que leur offraient la mer, commerçant de temps en temps avec les ports pour se ravitailler et partir à nouveau plusieurs jours à naviguer sur les océans de la planète.
Kristoff dévoila rapidement son potentiel au cours de leurs pérégrinations. Toujours plus mâture que son âge, il avait rapidement appris les ficelles du métier de son père. Avec lui, il guidait leur petit groupe de voyageurs en suivant les bancs de poissons, en intégrant dès son plus jeune âge les courants importants, l’influence des saisons… Il était un expert de la navigation, il avait toujours un coup d’avance sur les migrations des Pokémons, retrouvant toujours précisément leurs lieux de rassemblement. Il était la fierté de sa famille, mais ne devint pour autant jamais arrogant. Il était bienveillant et doux, notamment avec Oren, qui éprouvait une profonde admiration à son égard. Le benjamin le voyait comme l’homme qu’il fallait être. Il aimait quand Kristoff lui racontait ses expériences, ses réflexions… Oren s’imaginait pouvoir faire aussi bien que lui, ce qui le motivait beaucoup à étudier. Toutefois, il réalisa rapidement que malgré ses efforts, ses compétences n’arrivaient pas à la cheville de son frère. Bien que déçu, cela ne fit que renforcer l’admiration déjà sans borne qu’il vouait à Kristoff.
Axel était né six ans après son aîné. Il vécut son enfance normale, choyé par la communauté. Il était apprécié pour son humour et sa facilité à résoudre les conflits. Néanmoins, il développa un retard de croissance qui eut des conséquences sur tout le reste de sa famille. Lors de leur séjour à Oblivia, vers ses dix ans, sa maladie avait été diagnostiquée, et avait eu pour effet une prise de conscience chez ses parents. Le régime alimentaire de toute la famille changea radicalement, plus riche en nutriments. Ils adoptèrent tout ce qui pouvait favoriser la croissance : œufs frais du Leveinard de leur mère, bananes de Tropius, graines de Juncko, lait Ecremeuh… Bien que ces efforts ne lui fassent gagner que quelques centimètres supplémentaires, qui atteignit difficilement le mètre cinquante, il ne perdit en rien son aisance sociale. Toutefois, il développa une forme d’amertume qui se traduisait par une pointe d’arrogance, surtout auprès de son plus jeune frère, qui le dépassa rapidement. Il se révéla être un excellent appui pour sa mère qui négociait les prix de vente et d’achats. Ses talents de commercial permirent à la communauté de vivre dans un plus grand confort.
Oren, de son côté, vivait dans l’ombre de ses grands frères. Pas aussi intelligent que l’aîné, pas aussi charismatique que le cadet, il ne trouvait pas sa place. Il n’avait aucun talent particulier, ou aucun qui ne se manifesta. L’ambiance familiale était bonne, il s’entendait bien avec ses frères, mais il se sentait coincé dans une situation qui le bridait.
Le changement de régime alimentaire brutal avait accéléré sa croissance, lui faisant vite rattraper l’écart de taille qu’il avait avec Axel. Il était encore jeune et épargné de la majorité des corvées : il s’était vite empâté. Sa mère, devenue très stricte sur l’hygiène de vie de ses fils suite au diagnostic d’Axel, ne le toléra pas et lui imposa un nouveau rythme de vie lorsqu’ils quittèrent Oblivia. Ce fut à peu près à cette période-là de sa vie, vers l’âge de douze ans, qu’Oren connut les principaux changements de sa vie.
En suivant la routine sportive d’Axel, Oren se développa rapidement. La graisse fondit pour laisser place à un corps respirant la santé. En parallèle, il abandonna tout espoir de faire aussi bien que ses frères. Axel et Kristoff étaient trop doués dans ce qu’ils faisaient pour ne serait-ce qu’espérer les égaler un jour. Alors, peu à peu, mu par une sorte d’instinct de compétition fraternel, il essaya de faire mieux sur toutes les autres activités et se spécialisa dans l’entretien des machines. C’est lui qui s’assurait du bon fonctionnement du système de purification d’eau, lui qui prenait soin des Chartors qui faisaient chauffer les turbines des bateaux… Il noua d’ailleurs une relation très proche avec eux. Lorsqu’il en avait la possibilité, il leur rendait visite et jouait avec eux. Il avait fini par s’habituer à l’intense chaleur de la salle des moteurs, cela ne le dérangeait pas de rester avec ces Pokémons plus affectueux qu’ils n’en avaient l’air. Au fur et à mesure du temps qui passa, il acquit une petite expertise du fonctionnement des machines et du soin à apporter à ces Pokémons. Il n’était jamais plus heureux que lorsqu’on faisait appel à lui. C’était rare, parce que sur chacun des bateaux, quelqu’un savait faire au moins aussi bien que lui, mais cela lui donnait l’impression d’avoir une utilité reconnue, et d’égaler ses frères en brillant sur un autre plan. Le reste du temps, il se contentait de vivre en essayant de faire fi de la comparaison qu’il subissait quotidiennement et qu’il supportait mal. Il envisageait souvent une vie de liberté loin de sa famille talentueuse, qu’il aimait pourtant.
Les années s’écoulèrent rapidement, dans une routine qui s’installa. Le Cataclysme se déroula sans grande difficulté pour eux. En dépit des tempêtes qui ravageaient les côtes et secouaient les océans, le duo formé par Kristoff et son père tiraient hors de danger leur communauté. Ils n’avaient besoin d’accoster que pour se ravitailler. Bien que de nombreux ports soient secoués par des tempêtes ravageuses, et donc soient inaccessibles, la communauté finissait toujours par réussir à se réapprovisionner d’une manière ou d’une autre, en dépit de la désorganisation qui avait gagné les villes côtières. Les séjours sur la terre ferme n’étaient que plus rares. L’absence de nouveaux visages avait beau peser pour certains, personne ne se sentait vraiment seul. Leur ancienne vie put reprendre sitôt les conditions climatiques se calmèrent.
Toutefois, Oren n’était pas satisfait de sa condition. Il se sentait toujours vivre dans l’ombre de ses frères. Tout le monde, y compris lui, regardait Axel et Kristoff avec des yeux brillants d’admiration. Il souffrait de la comparaison que les gens faisaient involontairement avec lui. Lorsqu’ils accostèrent à Alola, quelques mois après ses dix-huit ans, il entendit parler du projet Ankora. Il y vit l’aubaine de se lancer dans un voyage loin de sa famille. Il sentait qu’il devait s’éloigner d’elle pour s’épanouir, ou pour vivre plus sereinement, sans la pression du regard de ceux qui connaissaient ses frères. Il imposa à sa famille son départ, en leur expliquant ses raisons. Sa mère pleura d’apprendre que cela lui pesait tant, son père n’eut pour autre réaction que de croiser les bras, perplexe. Ce fut Kristoff qui fut le plus atteint. Il ne le montra pas, mais l’étreinte qu’il offrit à son frère signifiait beaucoup, Oren le savait. Tous deux étaient proches, plus proches qu’Oren ne l’était de ses parents. Kristoff était à la fois son frère, son modèle et son ami. Il comprenait le choix de son petit frère, l’y encourageait, mais était peiné d’apprendre son départ imminent.
C’est donc le cœur plein d’espoirs et avec la volonté de montrer à ses frères qu’ils n’avaient pas à regretter sa présence qu’il présenta son dossier pour le projet Ankora, puis embarqua vers le nouveau continent.
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[choixstarter]Sélection du conseil avec option choix liste[/choixstarter][starter][vignette]
https://i.servimg.com/u/f18/20/32/58/28/bzobzo10.jpg[/vignette][esp]Bébécaille[/esp]
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[surnom]Cialba[/surnom]
[sexe]Femelle[/sexe]
[talent]Anti-Bruit[/talent]
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- Charge
- Groz'Yeux
- Reproduction : Contre
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Dernière édition par Oren Eytelkoph le Mar 6 Avr - 1:16, édité 2 fois