[presentation][id][vignette]https://i.servimg.com/u/f38/20/30/27/08/bleuen10.jpg[/vignette]
[nom]Awlyre[/nom]
[prenom]Bleuenn[/prenom]
[age]29[/age]
[sexe]Féminin[/sexe]
[region]Kalos[/region]
[orientation]Hétérosexuelle[/orientation][/id]
[carac]Autrefois exemple de joie et de bonne humeur, Bleuenn est une jeune femme ayant succombé à la paranoïa. Suspicieuse, méfiante, elle maudit sa propre lâcheté, mais n’arrive pas à s’en défaire. Alors qu’auparavant elle n’avait aucune difficulté à aller vers autrui et recherchait même le contact, surtout des plus jeunes qu’elle, elle est désormais bien plus distante. Sa froideur apparente n’est qu’un mélange de peur et d’amertume, qui parfois surgissent en répliques acerbes incontrôlées.

Quand elle aborde une personne, elle regarde immédiatement les vêtements de son interlocuteur. Bleuenn est persuadée que les choix des couleurs lui donneront des indices sur l’état mental de la personne qui se tient face à elle. Ses regards traînent parfois un peu trop sur la gente masculine.

Bien qu’elle n’ait pas perdu son goût pour la peinture, elle ne sait plus si elle a envie d’enseigner. Partager son art reviendrait à retrouver une situation similaire à la vie qu’elle menait avant. Et cette étape vers la guérison lui prendrait sans doute des mois et des mois. Elle se place souvent en observatrice, et sait qu’elle peut rester passive face à des situations dangereuses. Paralysée par la peur. C’est pourquoi elle agit toujours avec prudence, quitte à stagner dans une situation qui lui déplaît. Elle n’est pas du genre à relever des défis, autre que ceux qu’elle lance pour se prouver à elle-même qu’elle ne vaut pas rien. [/carac]

[desc]Bleuenn est sans conteste une jeune femme grâcieuse. Bien qu’elle soit d’une taille moyenne, son teint clair et ses yeux caramel donnent à ses cheveux roux un éclat qui la distingue facilement. De plus, il n’est pas rare de la voir essayer plusieurs couleurs parmi ses vêtements ou même sur son corps : des rubans sur la tête, des lentilles de contact colorées, une garde-robe qui comporte toute un camaïeu de teintes différentes. Elle touche néanmoins rarement à ses fines lèvres.
Elle conserve néanmoins toujours un style très féminin et pudique. Elle ne porte que très rarement du métal, préférant les matières organiques. Ses ongles sont régulièrement vernis de teintes discrètes, afin de ne pas déconcentrer ses yeux lorsqu’elle peint.

Son corps a suivi son penchant pour les arts. Il peut paraître mince, mais il ne faut pas s’y méprendre : des muscles fins mais solides sculptent son corps de danseuse. Elle s’y adonne de temps à autre, cherchant un partenaire qui pourra la faire valser. Et sa voix, belle et cristalline, n’est pas exceptionnelle. Elle apprécie toujours chanter malgré ses poumons conservant des séquelles de l’incendie. Les quelques lésions qui subsistent l’empêchent de chanter trop fort ou trop longtemps. [/desc]

[story]Bleuenn est la fille d’un couple d’artiste : son père est écrivain et sa mère est un peintre de renom. Elle est née et a grandi à Cromlac’h, dans une maison en marge du village, ressemblant plus à une demeure qu’à une petite maison individuelle. Elle aimait énormément passer du temps dans leur immense serre, où sa mère peignait toute sorte d’histoires colorées sur de grandes toiles qui plaisaient beaucoup au gens. Elle voyait souvent des Rozboutons ou d’autres Pokémons de jardin de l’autre côté des parois en verre, qu’elle passait des heures à observer. Elle appréciait beaucoup entretenir toute la végétation de ce lieu qu’elle affectionnait tant (bien qu’elle ait beaucoup de mal à supporter les insectes qui s’y infiltraient en été). Elle menait une vie heureuse, dans sa maison qui était tout un royaume de découvertes pour elle. Tout le monde au village s’accordait pour dire qu’elle était d’une joie de vivre exquise et communicative.

Elle s’épanouissait en demandant à ses parents de l’initier aux activités artistiques. Elle s’essaya à la cuisine, à l’écriture, au cinéma (avec ses maigres capacités d’enfant), à la sculpture, à l’architecture (en aidant son père à trouver des idées pour rénover la façade vieillissante de leur maison), à la danse et à la musique, deux disciplines dans laquelle elle manifestait un certain talent. Néanmoins, c’est à travers la peinture, à l’instar de sa mère, qu’elle s’exprimait le mieux et avec la plus grande facilité.
Rapidement, ses parents décidèrent de l’éduquer de manière plus formelle dans les matières artistiques qui lui plaisaient. En parallèle des cours du primaire puis du secondaire qu’elle devait suivre en ligne à cause de la distance qui la séparait de l’école la plus proche, Bleuenn fut instruite par sa mère pour la peinture. Cette dernière lui apprit comment obtenir les parfaites nuances de couleurs avec son Queulorior, Albe, comment superposer les couches de peinture, comment représenter la perspective… Elle développa ses compétences tout en se dissociant du style de sa mère. Régulièrement, sa mère demandait à ses clients de juger les œuvres de sa fille à ses clients, qui les appréciaient beaucoup. A l’âge de quinze ans seulement, elle réalisa sa première vente avec une peinture de Pijako volant au-dessus de sa verrière.

Une fois son diplôme du cursus général obtenu, ses parents la poussèrent à poursuivre sa formation de peintre dans une école des Beaux-arts de Yantreizh. Elle suivit leur conseil, ne voyant pas vraiment quoi faire d’autre : sa vocation semblait toute trouvée. Elle était triste à l’idée de devoir quitter ce paradis qui l’avait accueillie si longtemps. Ce fut un déchirement pour elle. Elle n’avait jamais vécu loin de ses parents, ni hors de chez elle. Ses études furent psychologiquement difficiles à suivre, mais elle persévéra, conservant la joie de vivre qui la caractérisait si bien et qui lui permettait d’être toujours entourée de personnes qui y étaient sensibles. Et quand bien même elle refusa toujours de collaborer avec un Queulorior, elle se démarqua des autres étudiants par sa maîtrise des couleurs hors du commun. Elles étaient un langage qu’elle maîtrisait mieux que le verbe lors de conversations orales ou écrites. Ses talents furent remarqués par un des ses professeurs, qui lui proposèrent de participer à un projet architectural organisé par un ensemble d’académie, lors duquel elle put se faire quelques contacts pour sa carrière future. Elle finit par obtenir haut la main son diplôme et repartit vivre chez ses parents.


Elle n’avait jamais rompu le contact avec eux, habituée qu’elle était aux contacts à distance. Leur relation avait à peine changé lorsqu’elle revint après cinq longues années s’installer avec eux. Elle resta cependant de nombreux mois sans savoir quoi faire de sa vie. Elle continua alors à peindre et à vendre ses œuvres. Son succès rivalisait avec celui de sa mère désormais, qui était ravie d’avoir aidé sa fille à exploiter tout son potentiel. Néanmoins, cela ne suffisait pas à Bleuenn. Elle ne se sentait pas pleinement épanouie. Et puis, un jour, au détour d’une conversation avec son père, elle réalisa qu’elle aimerait transmettre son langage des couleurs à d’autres personnes. Elle prospecta quelques semaines jusqu’à découvrir qu’on recherchait un professeur de peinture à Relifac-le-haut pour un cours communal. Elle postula à l’offre la première et fut embauchée.
Elle se sentait bien, avec ce travail. Elle découvrit qu’elle affectionnait particulièrement faire découvrir l’art aux plus jeunes. Ses cours étaient interactifs, et elle aimait déceler les potentiels chez ses élèves. Elle leur attribuait des couleurs selon leur personnalité, leur donnait des défis pour apprendre à transmettre des messages à travers leurs œuvres. Son quotidien lui plaisait beaucoup.

Elle montait régulièrement sur le toit du bâtiment communal pour prendre l’air et admirer la mer au loin. Les montagnes, le ciel et les vagues offraient de belles sources d’inspiration. Même pendant le Cataclysme qui se déchaînait sur le monde, elle pouvait profiter tranquillement de ces paysages. De Relifac-le-haut à Yantreizh, on ne ressentait qu’à peine l’effet des sécheresses ou des violentes tempêtes. Les solides maisons tenaient toujours bon, la forêt environnante offrant sa protection.
Plusieurs mois s’écoulèrent dans la plus grande quiétude pour Bleuenn. Un beau jour, un étrange oiseau arriva par la mer pour s’installer sur ce toit. Grand, vert, immobile, la jeune femme n’eut aucune difficulté à identifier le Xatu. Néanmoins, ce dernier n’interagissait avec rien. Elle se demandait même s’il mangeait. Il se contentait de scruter le soleil. Alors, Bleuenn prit l’habitude de le saluer chaque jour, lui apportant de la nourriture (qui finissait toujours par disparaître), mais ne l’approcha jamais. Cette étrange relation dura quelques semaines.
Un après-midi, alors qu’elle sortait d’une séance particulièrement stimulante avec un groupe d’enfant, elle monta jusqu’au toit. Mais sa pause prit une tournure inattendue : une voix retentit dans son esprit.

« Do you wish to change it ?  »

Elle ne connaissait pas cette langue, mais fut surprise de comprendre le sens de ces mots.

« The future. »

Il n’y avait qu’elle et le Xatu sur ce toit. Il ne pouvait s’agir que de ce Pokémon. Bleuenn prit peur en réalisant que ce Pokémon pouvait lire dans sa tête. Et pusse communiquer ainsi avec elle. Elle s’enfuit à grandes enjambées. Par chance, sa salle de cours était au premier des trois étages, mais son cours suivant commençait très prochainement. Elle dut accueillir, encore en plein émoi, les nouveaux bambins.
Néanmoins, pas plus de trente minutes plus tard, une tragédie se produisit. Un incendie se déclara à son insu au rez-de-chaussée, dans la cuisine du bâtiment. Aucune alarme ne la prévint que le feu montait et commençait à lécher les portes de sa salle. Lorsque la fumée arriva à son nez, il était déjà trop tard. Elle ne pouvait plus évacuer la salle, seulement appeler les secours. Elle ouvrit la fenêtre entravée par des barreaux pour chasser la fumée, mais l’air pur se faisait rare. Elle alluma le robinet du lavabo qu’elle boucha puis rassembla ses cinq élèves. Ils attendirent. De longues minutes. Très longues. Pendant lesquelles la porte de sa salle se consuma. Pendant lesquelles le feu pénétra. Pendant lesquelles les flammes firent exploser les conteneurs de peinture. Les explosions furent brutales, violentes, et mortelles : deux des cinq enfants périrent sous la peinture incandescente qui atterrit sur eux, tandis qu’un troisième fut gravement brûlé.


Des semaines s’écoulèrent après l’incident. Bleuenn avait démissionné, et s’enfonçait toujours dans une déprime irascible. Dès qu’elle fermait les yeux, les images des corps de ses deux élèves brûlés s’imposaient sous ses yeux. Ses cauchemars étaient si terrifiants que des Pokémons Spectre vinrent s’installer autour de chez elle, pénétrant au fur et à mesure son esprit. Elle devint paranoïaque, toujours à guetter une manifestation. Elle était retournée vivre chez ses parents, qui s’inquiétaient pour elle. Elle ne peignait plus. Elle dépérissait sous leurs yeux. Ils avaient acquis un Hoothoot et un Hypnomade pour l’aider à surmonter ce traumatisme, mais Bleuenn craignait plus que tout d’avoir à nouveau recours à la télépathie. Cela lui rappelait le Xatu. A chaque fois, elle se disait que le Pokémon avait prédit l’incendie et voulait la prévenir. Et que par sa couardise, elle ne l’avait pas écouté. Elle voulait fuir sa culpabilité, se fuir elle-même.


Et puis… et puis un jour, son père la força à sortir de son cocon de douleur. Il l’inscrivit de force au projet Ankora. Si la compassion et la raison échouaient à la faire émerger de son chagrin, de nouvelles obligations la maintiendrait en surface. Elle allait être forcée de renouer avec le monde extérieur, et elle allait quitter cet environnement qui lui rappelait sans cesse le pire événement de sa vie. Et par ailleurs, il la rassurant concernant les Spectre qu’elle attirait : le projet était géré par des Rangers qui sauraient assurer sa sécurité.
A contrecœur, elle accepta. Elle partit avec une valise remplie de grigris et autres objets censés éloigner les Spectres et le mauvais sort, espérant de toutes ses forces que rien d’aussi atroce ne l’attendait sur l’île-continent.
[/story]
[choixstarter]Sélection du conseil avec option choix liste[/choixstarter][starter][vignette]https://i.servimg.com/u/f38/20/30/27/08/psysti10.jpg[/vignette]
[esp]Psystigri[/esp]
[numero]677[/numero]
[surnom]Grilas[/surnom]
[sexe]Femelle[/sexe]
[talent]Infiltration[/talent]
[cap]
 

• Capacité 1 : Groz'Yeux
     
  
• Capacité 2 : Griffe
  
  
• Reproduction : Bâillement
  
  

[/cap][/starter][/presentation]

Dernière édition par Bleuenn Awlyre le Lun 25 Jan - 0:14, édité 6 fois

Bonjour,

Nous sommes actuellement en train de lire ta fiche pour préparer ta sélection de starters. Cependant, certains points ont retenu notre attention :

Citation :

• Tout d'abord, il y a un gros problème concernant l'âge de ta perso. Tu dis qu'elle a 23 ans... Sauf qu'au vu de son histoire, ce n'est pas possible. En effet, tu nous dis que le Cataclysme a eu lieu lorsqu'elle était déjà prof. Or, celui-ci s'est déroulé quatre ans auparavant, soit quand elle avait 19 ans. Pourtant, si je suis ton histoire, elle a fini son cursus général à l'âge normal (on va dire 17/18 ans), avant de partir dans une école des Beaux-Arts. Cela voudrait dire qu'elle avait au moins 20/21 ans au moment d'obtenir son diplôme. Et vu qu'elle a mis du temps avant de trouver sa voie et qu'elle était déjà bien installée en tant que prof au moment du Cataclysme, ta perso devrait avoir au minimum 27/28 ans pour que tout cela corresponde...
  
• Tu dis que "Parfois, ce sont même des architectes qui lui demandent des conseils.". Pourquoi ? L'architecture et la peinture sont deux domaines complètement différents, et elle n'a clairement pas fait les études nécessaires pour pouvoir prodiguer les conseils dont tu parles. A moins que tu ne fasses référence à des décorateurs d'intérieur ? Mais là encore, c'est une autre expertise qu'elle ne semble pas posséder (puisqu'il ne s'agit pas simplement de peindre, mais d'effectuer une harmonisation d'une pièce/habitation avec les meubles, les matériaux, les sols, les murs, etc) Surtout que, même si elle a décroché son diplôme haut-la-main, si elle ne s'est pas spécialisée là-dedans il y a peu de chances pour qu'elle soit la première personne à laquelle on pense pour ce genre de projet...
  
• Je chipote un peu, mais : "Ayant eu peu de contact avec d’autres humains ou Pokémons, ses relations restent limitées". Je veux bien au début... Sauf qu'une fois devenue prof, elle semble au contraire s'épanouir au contact de ses élèves, et a l'air d'être beaucoup plus ouverte. Là, ça donne un peu l'impression qu'elle a passé toute sa vie enfermée sans parler à personne avant d'arriver sur Ankora. Sans compter qu'elle a tout de même su se lier avec les Pokémon de sa mère, que ce soient les Pokémon Plante de la serre ou son Queulorior, non ?

N'hésite pas à revenir vers nous à ce sujet !

Bonjour, cher Staff

C'est totalement de ma faute, j'ai confondu le jour de son inscription (le 23), qui correspond aussi à son jour de naissance, avec son âge ^^' Je rectifie ça rapidement.

Concernant l'architecture, il n'est pas rare de faire appel à des personnes dotées d'une certaine expertise pour des projets de grande envergure (j'en ai été témoin deux fois dans ma vie). Il s'agit juste de son talent pour le mariage des couleurs. Il est vrai que je ne le précise pas du tout assez clairement. Je vais retravailler ce point.

Et enfin, dernier point, je me suis simplement trompé dans ma fiche chronologique de son évolution (que j'ai pourtant dessinée afin de ne pas m'emmêler... les pinceaux).



Merci beaucoup pour ces retours ! J'ai essayé de faire quelque chose de plus complexe, je suis content que mes imprécisions aient été relevées : je vais pouvoir avoir une fiche parfaite ! Si vous réalisez entre-temps que d'autres problèmes surviennent, n'hésitez surtout pas à m'en faire part ! J'aimerais commencer cette aventure sur des bases solides et cohérentes.

Bonjour/Bonsoir !

Nous avons pris note de ton choix, à savoir une sélection du Conseil avec option liste. De ce fait, il te sera possible d'opter pour un starter dans la liste si nos propositions ne te conviennent pas.

Citation :

• Nénupiot (270) : Un Pokémon particulier. Il devient un artiste en évoluant (certes sur la danse, mais c'est s'ouvrir à un nouveau domaine) mais ça n'est pas pour ça que nous te le proposons. Nous te proposons Nénupiot dans un premier temps pour faire écho aux Pokémon Plante que tu as connu enfant, mais son type Eau pourra aussi t'aider à outrepasser ta peur du Feu, puisqu'il pourra t'en protéger.
  
• Psystigri (677) : Un Pokémon Psy, qui pourra lui aussi t'aider à outrepasser tes peurs... Ou au contraire les aggraver. Parce qu'on ne va pas se mentir, les Psystigri ont cette capacité à fixer le vide, sans émotions, sans rien ressentir. Un peu flippant non...? Avec lui, soit ça passe, soit ça casse. A toi de voir comment tu le supporterais...
  
• Lépidonille (664) : Toi qui es une artiste, tu as besoin de pigments, de couleurs pour ta peinture. Ce Pokémon, avec ses écailles colorées, pourra t'aider à constituer des peintures et pourra t'accompagner dans ta vie d'artiste. En plus, son évolution peut avoir de superbes couleurs, ce qui te fera encore plus de pigments à obtenir ! La vie est pas belle ?
  

Une fois ton choix effectué, tu peux éditer directement l'onglet Starter de ta fiche. N'oublie pas de renseigner une Attaque par Reproduction dans la liste des Capacités, si tu souhaites lui en donner une.

En outre, nous te tirons un dé de shiny, afin de voir si ton starter est chromatique, ou non !

Préviens-nous quand ta fiche est éditée avec les informations pour le starter, et la validation pourra être achevée.

Le membre 'Le Conseil' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Shiny' :

Bonsoir le Staff !

Je vous remercie pour ces choix, qui sont très pertinents ! Après avoir longtemps hésité avec le Nénupiot (parce qu'elle n'est pas à l'aise avec les Insectes, comme dit dans sa fiche), je vais choisir le Psystigri.

Psystigri est un Pokémon Psy. Il est particulièrement effrayant, avec son regard si vide, mais Bleuenn est dans une période où elle doit affronter un problème existentiel. Elle va donc suivre l'avis de son père, qui lui conseille un Psy pour se protéger des Spectres. Elle sait qu'elle va au-devant d'une situation qu'elle va détester, qu'elle va devoir affronter la télépathie. Elle prend son courage à deux mains, et va espérer s'en sortir. Elle peut toujours l'enfermer dans sa Pokéball dans le pire des cas !

Citation :

Félicitations, ton dossier d'inscription a été admis, tu peux désormais prendre le bateau direction Ankora !

Nous t'invitons à aller recenser ton avatar. Tu peux également aller te réserver une place dans une des tentes mise à disposition au camp de base. N'hésite pas également à mettre à jour ton profil pour y renseigner toutes les informations indispensables ! D'ailleurs, nous allons avoir besoin de ta date d'anniversaire, tu peux nous la communiquer ici ! Ta Carte Dresseur sera bientôt créée et disponible ici

Tu pourras faire ta propre demande de rp ou répondre à celles des autres là et si tu souhaites rendre service, tu peux toujours faire une mission en consultant le panneau d'affichage. Si tu ne souhaites pas participer aux Aventures, tu peux t'inscrire sur cette liste. Pareillement, nous te suggérons de remplir ta décharge et ton testament par précaution. Enfin, si tu souhaites te mêler à la communauté, nous t'invitons à nous rejoindre sur Discord

Nous espérons que tu t'amuseras bien parmi nous sur Ankora, et nous te souhaitons, à nouveau, la bienvenue