Mar 29 Nov - 17:44
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https://i.servimg.com/u/f94/14/22/28/18/amael_10.jpg[/vignette][nom]Lozac'h[/nom]
[prenom]Amaël[/prenom]
[age]28 ans[/age]
[sexe]Masculin[/sexe]
[region]Kalos[/region]
[orientation]Hétéro[/orientation][/id]
[carac]Amaël est un homme qui aime et sait profiter de la vie. Bon vivant, il sait se montrer sociable et extraverti, parfois exubérant. Se ridiculiser un peu ne lui fait pas peur, draguer non plus. Il aime la vie et les bonnes choses que celle-ci peut lui apporter. Il n’est cependant pas un casse-cou qui carbure à l’adrénaline, loin de là, et sait se montrer prudent si nécessaire. On peut même dire qu’il fait attention à sa santé. De l’alcool uniquement avec des proches et jamais sans grosse cuite, pas de drogue, pas de sport extrême à haut risque, non, son plus gros vice reste la gourmandise. Il adore manger, il adore cuisiner, il adore faire de bons petits plats pour ses proches et ses Pokémon. Il a d’ailleurs une dent très sucrée, appréciant cuisiner et manger des pâtisseries. Et il aime bien la compagnie féminine. Il n’a de coureur de jupons que le nom, cela dit. C’est un homme d’une extrême loyauté, et s’il s’amuse en tant que célibataire, il sait toujours prendre soin de celle qui décide de partager un bout de sa vie. Sans compter qu’il est toujours très honnête sur ses intentions et ses sentiments, et il n’est pas là pour être un bourreau des cœurs. Ce côté un peu frivole cependant fait qu’il ne semble jamais être trop sérieux, et a l’air de vivre au jour le jour en se moquant bien du lendemain.
Grandir entouré de femmes l’a rendu plus ouvert sur certains sujets et sur les problématiques que la gent féminine peut rencontrer. Evidemment, il ne ressentira jamais la douleur d’une mauvaise période du mois, ou d’un accouchement, mais il sait encaisser les situations et faire la part des choses. Il sait reconnaître quand c’est le moment, ou non, de parler de ses sentiments et de ses problèmes, et il sait faire passer l’autre avant. Peut-être un peu trop, en réalité. Amaël aime faire plaisir et aider les gens, laissant toujours ses sentiments et besoins de côté. C’est pas grave, on verra plus tard. Et le plus tard ne vient jamais. Il dit rarement quand il va mal, pour ne pas être un fardeau, pour ne pas encombrer les autres de ses problèmes et préfère déployer des ressources pour remonter le moral ou faire rire autrui. Aussi, il a toujours l’air d’aller bien, et sait très bien donner le change pour dissimuler ses peines.
C’est également un homme passionné, qui essaye de toujours faire les choses à fond quand le projet l’intéresse. Il est bienveillant et loyal, même si parfois un peu franc. S’il faut dire quelque chose, il finira par le dire, même s’il essaye d’y aller en douceur. C’est aussi quelqu’un qui adore travailler en musique. Peu importe le style musical, la musique fait partie de lui, il en a besoin, et cuisine très souvent en chantant. Il chante sous la douche aussi. Attention, parfois ça sonne un peu faux, mais au moins, il fait ça de bon coeur !
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[desc]Amaël est un jeune homme d’un bon mètre quatre-vingt. Il est plutôt fin malgré son métier de cuisinier, à croire que courir en cuisine partout l’empêche de prendre du poids, ce qui n’est pas plus mal vu qu’il adore les gâteaux. Il est cela dit assez musclé, à force de porter des lourdes casseroles et autres. En dehors de ça, il a des cheveux roux coupés court et souvent en bataille quand il ne les tient pas en respect. Il a de beaux yeux dont la couleur semble difficile à déterminer entre le bleu et le vert. Son regard a quelque chose d’hypnotique. Quand il ne porte pas une tenue de cuisine, il est souvent dans une tenue plus classique, jean et chemise. Il a une voix un peu grave, et un rire plutôt cristallin. Il est expressif, et n'hésite pas à montrer ses émotions, quand celles-ci sont positives. Il est conscient que sans être un ultime beau-gosse, il est plutôt bien fait par la nature, et n’hésite pas à en jouer. Il a quelques cicatrices de coupures sur la main, résultat de ses débuts en cuisine, et aussi une trace de brûlure fine et longiligne dans le dos suite au contact d’un ustensile de cuisine brûlant lors du Cataclysme.
[/desc]
[story]Les parents d’Amaël l’ont eu très tôt. Dix-sept ans est un très –voire trop- jeune âge pour devenir parents. Autant dire qu’ils n’étaient pas prêts, et que leurs parents leur en ont tenu rigueur. Ils étaient déçus de voir leurs enfants être aussi inconscients alors que leurs études supérieures approchaient à grands pas ! Cependant, s’ils étaient déçus, ils décidèrent de ne pas les laisser sacrifier leurs vies pour autant. Ils voulaient prendre des décisions d’adultes et agir comme tel, soit, mais ils restaient des enfants susceptibles de faire des erreurs. Les grands-parents se relayèrent pour garder l’enfant la journée, pendant que les deux parents du petit poursuivaient leurs études. Ils sacrifiaient une bonne partie de leur jeunesse, mais essayaient de passer tout leur temps libre avec leur fils. Et la petite famille grandit ainsi. Les parents prirent leur indépendance avec leur fils. Ils avaient des métiers prenant (avocat pour lui, RH dans une grande firme pour elle), mais avec le début de l’école de l’enfant, ils arrivaient à gérer, et passaient du temps tous les soirs avec Amaël. La vie était un long fleuve tranquille.
Les parents n’avaient pas eu beaucoup d’intimité depuis la naissance d’Amaël. Entre la fin des études, les petits boulots et autres, ils étaient parfois épuisés. Maintenant bien posés dans leur vie, propriétaire à Kalos, ils avaient envie de faire un petit frère ou une petite sœur à Amaël, qui avait désormais dix ans. Et ils se lancèrent dans l’aventure ! Qui ne prit pas longtemps à débuter. Rapidement, la mère d’Amaël tomba enceinte de sa première petite sœur, Enora. L’enfant était ravi ! Il allait avoir un frangin et serait un peu moins seul ! Pas jaloux pour deux sous, il accueillit sa petite sœur, Enora, avec plaisir. Certes, il y avait un écart en âge non négligeable, mais ça n’était pas si grave que ça, si ?
Tout se passait très bien. Les parents avaient prévu d’avoir trois enfants maximum, et d’attendre un peu entre la naissance du deuxième et du troisième, mais pas trop, pour éviter un trop grand écart d’âge entre Amaël et son dernier hypothétique frangin. Ce qu’ils n’avaient pas prévu cependant, c’est que deux ans plus tard, la mère d’Amaël tomba à nouveau enceinte. Ils sortaient à peine du cycle des nuits infernales et des couches, la petite n’avait même pas commencé la crèche qu’il allait falloir recommencer. Mais contre mauvaise fortune, bon cœur ! Au moins ils auraient leurs trois enfants, et hop ! La grossesse fut un peu plus compliquée pour la mère d’Amaël qui se retrouva en arrêt maladie de force au bout du cinquième mois de grossesse et pour cause, elle attendait des jumelles. Et c’est là que la vie d’Amaël pivota.
Sa mère alitée et en arrêt maladie longue durée, son père devant travailler pour continuer à supporter les finances du foyer, il n’y avait pas beaucoup d’adultes responsables autour des deux enfants. Oh, leur maman tentait bien de s’occuper de ses deux petits, mais plus la grossesse avançait, plus elle avait besoin de rester couchée pour ne pas risquer un accouchement prématuré. Ce fut donc Amaël qui, dans le but d’aider ses parents, prit la décision de cuisiner. Oh il ne fallait pas s’attendre à de la grande cuisine ! C’était surtout des pâtes au beurre et au ketchup, avec du jambon ou des knacki ! Mais ça nourrissait et ça retirait une épine dans le pied de tout le monde. Il essaya aussi de faire de son mieux pour occuper sa soeur, qui vivait très mal que sa mère ne joue plus assez avec elle, et que son père s’endorme à toutes les lectures du soir. Il était un bon pilier auprès d’elle, et même s’il ne pouvait pas tout faire comme un grand, il faisait de son mieux. Il l’aidait à ranger ses jouets, il regardait des films avec elle, il faisait attention. Et ses parents lui en étaient reconnaissant.
La vie suivit donc son cours jusqu’à la naissance de ses deux nouvelles soeurs, Marie et Nolwenn. Au début, ce fut un peu catastrophique : les parents étaient épuisés, les filles ne dormaient pas beaucoup, Enora était terriblement jalouse, et Amaël, dans cette tourmente, tentait de tenir tout le monde à bout de bras. Il négligeait un peu ses devoirs mais n’en parlait pas à ses parents, apprenant à mentir et à donner le change pour faire croire que tout allait bien et qu’il n’avait pas besoin d’aide. Il ne voulait pas ajouter ce fardeau à ses parents. Alors il apprit à donner des biberons, changer des couches, donner des bains, il continua de cuisiner, de faire le ménage autant que possible. Sa soeur n’aidait pas beaucoup, mais elle était fort jeune, et il essayait de juste l’encourager à ranger ses affaires à elle. Et en prenant une grosse charge en s’occupant de ses deux petites soeurs, il essayait de libérer du temps pour ses parents pour qu’ils se reposent, ou passent du temps entre eux ou avec Enora. Lui, tout allait bien. Il souriait, il avait des amis à l’école. Vraiment, tout était parfait. Ou pas. Il souffrait, bien malgré lui, de parentification. Ses parents ne voulaient pas en arriver là, mais c’était lui qui imposait doucement cette façon de vivre. Heureusement, il avait l’air très heureux de cuisiner, et c’était le cas. Vu qu’il avait grandi, il commençait à explorer un peu plus la cuisine, et ça lui plaisait de voir que tout le monde était content de manger. Aussi car le moment du repas était l’un des rares moments en famille où tout le monde avait l’air heureux et où tout le monde prenait le temps de discuter, de se poser. C’est à ce moment-là que son amour de la cuisine se développa et ne fit que grandir avec lui.
Tout aurait pu se passer au mieux, avant que sa mère ne retombe enceinte, à nouveau de jumeaux. Même elle n’en pouvait plus, son corps n’en pouvait plus. Elle s’en rendit compte un peu trop tard, n’ayant jamais associé ses symptômes à une grossesse puisqu’elle avait été mise sous contraceptif juste après la naissance de ses deux dernières filles. Mais la nature trouvait toujours un chemin apparemment. Marie et Nolwenn allaient sur leurs deux ans, et n’avaient pas commencé l’école, mais n’étaient jamais seules puisqu’elles avaient l’une l’autre. Enora, elle, se transformait en monstre de jalousie. Déjà qu’elle avait vaguement toléré ses deux petites soeurs, elle allait en avoir deux autres qui allaient encore prendre le temps de ses parents et de son grand-frère ? Hors de question. La petite piquait souvent des colères et vivait très mal la situation. Les parents tentèrent bien une thérapie, mais rien ne semblait réellement apaiser l’enfant. Alors Amaël redoubla d’efforts pour passer du temps avec ses soeurs, surtout des temps juste avec Enora, mais aussi pour laisser du temps libre à ses parents. Sa mère fut à nouveau arrêtée pour grossesse à risque, et son père redoubla d’efforts au travail. Les grands-parents n’hésitaient pas aussi à intervenir un peu plus et à aider. Et l’adolescent, toujours, mentait sur ses résultats scolaires. Il avait seize ans lorsque Morgane et Maïwenn vinrent au monde. Suite à leurs naissances, son père se fit faire une vasectomie, sa mère une ligature des trompes, histoire que la nature ne revienne pas se mêler à leurs vies. En revanche, les résultats scolaires d’Amaël le rattrapèrent. Il ne pourrait pas passer en études supérieures, en admettant qu’il obtienne son diplôme. Cependant, le garçon aimait cuisiner, et il quitta donc l’école pour se réorienter vers un apprentissage en restauration, en tant que cuisinier. Il parvint à s’épanouir beaucoup plus, et quand les filles furent toutes en âge d’aller à l’école, la famille respira un peu plus.
Amaël poursuivit ses études de cuisine. Il finit par intégrer un grand restaurant de nourriture traditionnelle Jothoïte. Il s’entendait très bien avec son équipe, et il avait même plus ou moins adopté un Flamajou laissé par un précédent cuisinier. Il n’avait pas de vie amoureuse très sérieuse cela dit, estimant ne pas avoir le temps vu son emploi du temps. Et puis, il vivait toujours chez ses parents pour aider avec ses soeurs, il n’avait pas une vie très indépendante. Et même s’il ne se l’avouait pas, Enora vivrait très mal qu’il se mette en couple avec quelqu’un.
Lorsque le Cataclysme frappa, frappa réellement, il était au restaurant avec ses collègues. Suite aux dérèglements climatiques récents, le patron les avait réuni uniquement pour faire un grand nettoyage, et pour tout fermer. Il avait décidé de fermer un temps vu la météo qui avait l’air prête à exploser, mais il fallait couper le courant, vider les frigos, ce genre de choses. Et ils étaient là lorsqu’un incendie éclata en ville, et dévora tout sur son passage. Amaël était encore coincé à l’intérieur avec ses collègues lorsque le feu prit dans le restaurant, grandissant rapidement vu tout le matériel, et il ne dut sa survie qu’à son Flamajou qui réussit à le guider hors du restaurant malgré la fumée toxique. Là, il fut récupéré par une équipe de pompiers qui s’assura que tout allait bien pour lui, et qu’il n’avait pas été empoisonné par les fumées. Mais non, il s’en était bien sorti, sa seule blessure critique étant une brûlure longiligne dans le dos quand un ustensile brûlant lui était tombé dessus qui fut prise en charge. Il s’inquiéta pour sa famille, évidemment, mais il eut rapidement des nouvelles positives : sa famille était partie manger chez ses grands-parents maternels qui vivaient à l’écart et n’avaient pas été atteint par les flammes. Ses grands-parents paternels avaient aussi été épargnés par le feu. Leur maison avait par contre été réduite en cendres… Alors Amaël retourna chez lui, et aida les siens à se reconstruire. Son lieu de travail ayant aussi été réduit en cendres, il se retrouva sans emploi un long moment, profitant simplement d’être avec les siens pour cuisiner pour eux, aider tout le monde à bien se remettre. En réalité, il ne reprit pas de travail réel de suite. Il enchainait quelques petits contrats rapides, sans plus. Il apprit l’annonce, quelques années plus tard, du projet Ankora, et s’il parut intéressé, il n’en montra rien. Sa famille avait trop besoin de lui. Il fut également contacté par son ancien patron, qui avait touché le remboursement de l’assurance suite à la destruction de son restaurant. Comme il ne comptait pas se relancer dans un commerce -il avait l’âge d’aller à la retraite- il donnait une part égale d’argent à tout le monde. Il prévenait juste Amaël, n’acceptant aucun refus, et le cuisinier se retrouva avec pas mal d’argent et… n’en fit rien. Il continuait d’enchaîner des petits contrats, et de rester avec sa famille. Sa vie était en stase, et il estimait que ses proches avaient encore besoin d’aide.
Un jour, ses parents l’attrapèrent pour une espèce de réunion de famille d’urgence. Ils avaient bien constaté tous les efforts que le jeune homme avait fait pour la famille, tout au long de sa vie. Maintenant, il fallait qu’il vive pour lui. Les filles étaient grandes, les dernières ayant douze ans, elles pouvaient se débrouiller sans lui. Quant à Enora, elle s’en sortirait, elle ne pouvait pas retenir tout le monde sous prétexte de sa jalousie, et sa thérapie l’aidait. C’était l’heure pour lui de partir vivre sa vie. Il avait des fonds, il ne lui en manquait pas beaucoup pour pouvoir s’installer sur Ankora, surtout qu’il avait toujours eu envie d’ouvrir sa propre entreprise, son propre salon de thé. Ils lui présentèrent un dossier pour candidater au projet Ankora, et le jeune homme finit par le remplir et le déposer. Il fut rapidement accepté, et lorsqu’il partit, sa famille lui promit de venir le voir une fois qu’il serait installé. Mais pour le moment, il allait vivre un peu pour lui.
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[choixstarter]Choix du Conseil uniquement[/choixstarter][starter][vignette]
https://i.servimg.com/u/f94/14/22/28/18/gruiku10.jpg[/vignette][esp]Gruikui[/esp]
[numero]498[/numero]
[surnom]Chouquette[/surnom]
[sexe]femelle[/sexe]
[talent]Brasier[/talent]
[cap]
- Charge
- Mimi-Queue
- Flamme ultime (repro)
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Dernière édition par Amaël Lozac'h le Ven 2 Déc - 15:43, édité 1 fois
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