Sam 14 Nov - 17:08
[presentation][id][vignette]
https://zupimages.net/up/20/46/o9jv.png[/vignette][nom]Walker[/nom]
[prenom]Colin[/prenom]
[age]22 ans[/age]
[sexe]Mâle[/sexe]
[region]Unys[/region]
[orientation]Homosexuel[/orientation][/id]
[carac]Colin est un garçon simple et simplet. Grand timide, sans être introverti, il va tout faire pour éviter le conflit. Certains pourront même aller jusqu'à abuser de sa gentillesse, le considérant comme un simple potiche bon à tout faire. Dans un sens, ils n'ont pas totalement tort... Le garçon est assez passif, et « subit » plutôt qu'être acteur,ajouter à ça sa peur de la punition, il va souvent se retrouver à passer le balais pour les autres. Mieux vaut balayer pour quelqu'un d'autre que de voir tout le monde se faire engueuler. Mais d'un autre côté, il ne restera jamais totalement passif. Il ne paie les pots cassés que s'il y a risque qu'il se fasse engueuler. S'il est sûr qu'il est hors de danger et que personne ne pourra rien lui reprocher, il vous dira simplement « Bon bah... Bonne chance pour tout nettoyer, hein ! Moi je vais jouer dehors. », en vous laissant sur place, balais entre vos mains.
Il est aussi très candide, et pas très futé. Il n'est pas complètement con (pas complètement), mais une situation demandant un effort vraiment important de réflexion va le mettre en difficulté. Concrètement, il voit très bien si vous êtes énervé, et il fera attention à ne pas vous énerver davantage. Mais maintenant, imaginez qu'il est dans cette scène où c'est lui qui a une arme en main, et qu'il a un face deux lui une personne qu'il connaît et ce fameux monstre/démon/peu importe qui peut changer d'apparence, en ayant pris celle de la dite personne, et que les deux lui disent : « c'est moi la vraie, tire sur l'autre ! », là, son système nerveux va juste complètement disjoncter et il restera sans rien dire ni sans rien faire, se réfugiant dans son petit safespece mental, attendant que l'orage passe. C'est à la fois une qualité et un défaut, une qualité parce qu'il ne peut pas mentir, il n'a pas assez de conviction pour ça, un défaut parce qu'il ne peut pas mentir, et donc si vous lui avez confié une information et qu'on lui demande directement, il devra se faire violence pour réussir à être crédible. Attention donc à ce que vous lui confiez ! Si c'est un petit secret, pourquoi pas, mais si vous l'impliquez dans une histoire douteuse qui ne fait que s'embourber à chaque nouveau mensonge qui s'ajoute, là il va craquer et tout révéler. De part son éducation traditionnelle d'un petit clan de Johto, il considère qu'il doit s'écraser face à l'autorité, même si c'est injuste. Les adultes ont toujours raison, n'a-t-on eu cesse de lui répéter. Et ensuite, les « adultes » sont simplement devenus « la loi » ou « l'autorité », ou « la police ». Il n'a jamais eu les outils nécessaires pour apprendre à se révolter, aussi ne connaît-il encore aucune méthode à part s'enfermer dans sa chambre à double tour en soupirant « C'est pas juste, zut alors ! ».
L'expression « surveiller l'eau qui dort » lui va assez bien, car même s'il reste la plupart du temps calme, serviable voire servile, si vous le poussez à bout il piquera une bonne crise de colère noire, pouvant même le pousser à agir violemment. Mais ça, c'est vraiment dans les cas le plus extrêmes.
En bref, c'est un petit bout de chou qui peut être serviable si vous savez bien vous y prendre, ou si vous êtes le mouton noir de la bande qui reste de faire punir tout le monde par votre bêtise, qui aime rester tranquille en écoutant sa musique, plus suiveur que meneur, mais attention à ne pas abuser.
[/carac]
[desc]Lorsque vous croiserez Colin, il est probable que vous le voyiez avec des écouteurs dans les oreilles. N'hésitez pas à lui faire coucou de la main, il vous saluera en retour et avec le sourire. Il apparaîtra souvent jovial, et le reste du temps, en abordant une moue dubitative ou de panique, signe de quelque chose l'a contrarié et qu'il a peur des conséquences. Si vous l'abordez dans ces moments là et qu'il a suffisamment confiance en vous, il se mettra à vous parler assez vite, se dévoilant à vous comme un livre ouvert. Lorsqu'il panique, il a ses tiques de langage, il bute sur les mots, il se répète même parfois.
Il cède facilement face à l'autorité, aussi lorsqu'on l'envoie bouler, il se contente d'obéir en ruminant à quel point tout ça est injuste, sur un ton dépité ou colérique dans de rares occasions.
Vous pourrez peut être même l'apercevoir tenant des outils divers et variés, allant d'un balais à un marteau, alors qu'il répare les bourdes de quelqu'un d'autre d'autre par peur que la faute lui retombe dessus.
Il semble qu'il soit apprécié des petites mamies, malgré le fait qu'il soit plutôt grand. En effet, elles sont sous le charme de son visage, "il a un air de Voltoutou battu", confia un jour l'une d'elle, et impossible de résister à l'envie de lui tirer ses joues. Les plus polis trouve son visage "adorable", les plus moqueurs disent qu'il a une tête de victime, ni plus ni moins. Choisissez la version que vous préférez, dans un cas comme dans l'autre ça le mettre mal à l'aise.
Ne faites pas attention à la laisse sur sa photo d'identité. C'est le reste d'une blague cruelle entre cousins à propos de son titre de "Larbin des dragons". [/desc]
[story]Colin a grandi à Janusia, la ville mêlant passé et futur. Sa mère vient de Celesta, le berceau des légendes des dragons du Temps et de l'espace, et son père vient d'un clan de Dresseurs de dragons. Autant dire qu'il a vécu toute sa jeune vie entouré de dragons. Sa mère possédait une Lanssorien avec laquelle il pouvait passer des heures à jouer, comme s'il était son troisième petit, en plus des Fantyrm qu'elle transportait. Son père avait un Dracolosse et un Tranchodon qui l'accompagnèrent dans ses premières exploration de la nature étant bébé. Ils restaient derrière le jeune humain, et même une fois il serait tombé. Son visage aurait viré au rouge alors qu'il hurlait en pleurant. Et puis, Tranchodon aurait penché sa tête vers le bébé, attrapant délicatement le col de sa tunique avec un de ses crocs, avant de le soulever et de le remettre debout. Jamais l'enfant n'était redevenu heureux et souriant aussi vite, comme sa mère adorait lui répétait à chaque fois qu'elle se sentait nostalgique en regardant de vieux albums de photos. Il passait alors simplement pour un enfant qui adorait les dragons et qui voudrait sûrement en dresser un à son tour, quand il serait plus grand.
Mais en grandissant, le jeune garçon développait un caractère violent et bagarreur. Il provoquait ses petits camarades de classe sans raison, il organisait bagarre après bagarre à chaque récréation. Au début, ces affrontements avaient lieu en secret. En réalité, c'est lui-même qui tentait d'initier ses petits camarades à ce qu'il appelait de « l'endurcissement ». Les autres ne faisaient que suivre, trouvant cela « cool », « adulte », juste pour suivre le mouvement. Et au début, ce n'était pas si violent. Mais petit à petit, il s'habitua au goût de la victoire et surtout de la violence. Il n'y avait plus de retenue dans ses coups. Ses petits camarades tentèrent alors de riposter, donnant cours à un véritable combat. Les nez meurtris et les ecchymoses ne purent rester cachés indéfiniment, aussi lorsque les professeurs s'inquiétèrent de l'origine des blessures des enfants, tous le désignèrent du doigt sans le moindre remord. Le chef de la bande était devenu un fou furieux. Lorsque ses parents furent convoqués par le directeur de l'école, ils trouvèrent leur fils en sang, les vêtements déchirés, l'air fier de lui... Voir cette violence « innocente », ce fils qui n'avait pas l'air de comprendre ce qu'il avait fait, c'était une véritable peine pour eux. Une fois rentrés, ils pressèrent leur fils à leur expliquer ce qui lui était passé par la tête.
« C'était qu'un jeu. Comme les d'agons. Papa aussi il se bat avec T'anchodon contre les aut'es. C'est pa'eil. »
Et il affichait toujours ce grand sourire innocent en disant cela, c'était ça le plus effrayant. Leur fils croyait que son père, en tant que dresseur de l'Arène de Janusia, ne faisait que s'amuser en affrontant d'autres dresseurs spécialistes du type Dragon de Janusia. La violence s'était ancrée naturellement chez leur fils, comme s'il se considérait lui-même comme un dragon. Enfin, il était encore trop tôt pour eux pour arriver à cette conclusion. Colin avait simplement vu des combats Pokémon et il tentait de les imiter comme il pouvait, puisqu'il n'avait de Pokémon. Ils passèrent la soirée à lui expliquer pourquoi il ne devait pas se battre avec les autres. Ils pensaient que cela suffirait à stopper le comportement violent de leur fils.
Mais ils avaient tort. Colin eut simplement assez d'intelligence de ne plus se battre à l'école où tous les adultes pouvaient le voir. A compter de ce jour, il attraperait simplement ses petits camarades les uns après les autres, dans un parc, dans la rue. A la fin, la tendance fut retournée lorsque les autres enfants s'organisèrent en bande de quatre ou cinq pour tomber sur celui qu'on appelait à présent « le furieux », ou « le Reptincel », à cause de sa peau rougie par l'excitation et la violence et qui vous assenait de coups sans répit. L'ennui c'est que là non plus il ne put cacher indéfiniment ses blessures à ses parents. Leur fils d'à peine dix ans revenait déjà avec ses premiers bleus et autres plaies en tout genre. Il dut une nouvelle fois s'expliquer devant le conseil parental.
« Je comprends pas, Lanssorien elle envoie ses petits sur ses adversaires... et ils se battent... Moi aussi je veux me battre maman ! Moi aussi je voudrai une maman Lanssorien quand je serai plus grand, et on se battra ensemble ! C'est mon plus grand rêve ! »
Devant son refus de s'excuser ou de communiquer, ses parents n'eurent d'autre solution que de l'envoyer dans sa chambre. Ce ne fut que la première fois, et les mois passèrent sans que l'enfant éprouve du remord et ne s'arrête de brutaliser les autres. Il restait muet devant la psychiatre, se contentant de répéter qu'il serait simplement le plus fort de tous. Un soir, ses parents ne dirent simplement rien, s'emmurant dans le silence. Il monta de lui-même dans sa chambre, intrigué de ne pas recevoir de punition. L'enfant ne le saurait que plus tard, mais cette nuit là ses parents avaient veillé très tard, pour passer un appel téléphonique à une personne qui vivait loin d'Unys. En effet, ils avaient finalement conclu que leur fils ne discernait plus la réalité, ni le raisonnable. Sûrement une fantaisie de gamin, mais qui était... trop violente. Ils appelèrent donc les seules personnes vers qui ils pensaient pouvoir se tourner. Le Clan.
C'était un nom simple, et même s'il a des connotations mafieuses, il n'a rien à voir avec le monde la pègre. Il s'agissait simplement de la famille de la grand-mère de Colin restée à Johto. Elle les avait quitté en renonçant à son nom de jeune fille, Ryukiba. Ils étaient un clan d'Ébenelle, spécialisés dans la capture et le dressage de Pokémon Dragon, comme plusieurs habitants de ce village reculé. Malgré le départ de la grand-mère de Colin, ils restaient de la famille et aussi ses parents espéraient-ils que le Clan accepterait de s'occuper de Colin. quelques temps, pour l'aider à contrôler ses pulsions. S'ils pensaient qu'eux seuls pouvaient aider Colin, c'est parce que le Clan possédait plus de dragons que l'arène de Janusia, surtout spécialisée alors dans les dragons d'Unys, donc plus de connaissances à lui apporter. Et là-bas, il pourrait apprendre avec de la discipline que ses parents ne semblaient pas trouver à Janusia. Ce n'était peut être pas la meilleure solution qu'ils auront trouvé, mais c'était une solution.
Ils reçurent la réponse suivante de la part du Doyen actuel de la famille : « J'ai entendu votre histoire. J'accepte de m'occuper de Colin. Uniquement parce que je refuse qu'un Dragon finisse blessé à cause d'un garnement aussi impulsif. A la condition qu'il soit formé selon les lois du Clan, pour racheter la fuite de sa grand-mère. Sinon, débrouillez-vous. ». Johto était riche en traditions, et le clan Ryukiba se vantait de les suivre au pied de la lettre malgré l'ère moderne de la technologie. Ils faisaient partie de ces gens là. Il fut décidé que Colin partirait, accompagné de sa mère qui se refusait à le laisser seul, entre les griffes du Clan. Son père resterait encore à Unys le temps de finir son contrat à l'arène, de régler leurs affaires et il les rejoindrait plus tard. Pour ses parents, ce n'était pas important de vivre à Unys ou à Johto, tant qu'ils étaient tous les trois.
A leur arrivée, la mère et le fils furent bien reçus, même si sa mère lui avouera plus tard, une fois rentrée à Unys, qu'elle avait eu l'impression d'être une prisonnière dès qu'elle mit le pied dans le domaine de la famille. Pour le petit Colin, c'était la découverte d'un tout nouveau monde. Ses parents ne lui avaient pas menti, il vit plus de variétés de Pokémon Dragon qu'il n'en n'avait jamais vu à l'arène. C'était aussi la découverte d'un nouveau vocabulaire, les membres de la famille Ryukiba, ses lointains cousins, se désignaient eux-même comme étant « le sang du dragon », rien que cela. Mais jamais leurs mots n'atteignirent Colin. Était-ce parce qu'il avait, contrairement aux autres, déjà vu le monde extérieur et reçu une éducation plus ouverte ? Mystère, mais une chose est sûre : même dans le futur, jamais Colin ne se considéra comme étant du sang du dragon, ou même un Ryukiba. Il était simplement Colin Walker. On lui attribua alors un Minidraco qu'il était censé élever jusqu'à sa majorité. S'il réussissait à lui prodiguer les soins qu'il apprendrait au cours de son adolescence et que le dragon devenait un spécimen épanoui, il serait reconnu comme un vrai dracologue auprès du Clan.
Il tenta de se présenter à la petite créature serpentine, et quelque chose d'incroyable se passa alors. Le Minidraco rien qu'en posant le regard sur Colin sembla le juger trop faible, aussi il frappa le jeune garçon avec sa queue. Les membres du Clan ne surent comment interpréter ce premier contact, aussi se dirent-ils simplement que Colin avait énormément de travail à fournir pour se faire reconnaître par son dragon. Mais cela ne passa pas du tout. Cela ne passa jamais, même à la fin de son entraînement. Le petit Minidraco se conduisait de façon despotique avec le jeune humain. Il frappait Colin sans cesse pour rectifier chaque décision, chaque action du jeune homme, se servant de son corps serpentin comme d'un fouet. Un autre disciple du Clan jura même qu'il avait vu une fois le Minidraco frapper Colin pendant l'heure du repas jusqu'à ce que celui-ci lui cède finalement son sandwich. Et quand le jeune homme tenter de riposter, ses cousins éloignés étaient là pour le maîtriser et l'enfermer dans sa chambre, l'invitant à méditer sur sa mauvaise action, à savoir tenter de frapper un innocent dragon. Bientôt, alors que Colin était censé recevoir le surnom de « Jeune dragon », les disciples s'amusaient à l'appeler dans son dos « le Larbin des Dragons ».
Les années passèrent, Colin avait drastiquement changé. Le petit garçon bagarreur et impulsif était devenu servile et aimable, toujours souriant. Il avait pris l'habitude de se plier aux quatre volontés de son dragon. Les anciens du clan s'inquiétèrent finalement de la situation, il demandèrent à l'adolescent ce qu'il comptait faire une fois devenu Dracologue. Il prit quelques instants pour réfléchir puis il leur dit :
« J'aimerais bien faire comme Cynthia. Elle est partie de rien, simplement avec un Griknot, et elle est devenue Maître. Ça me plairait bien d'avoir un Carchacrok ! »
Et il repartit tout sourire, laissant les anciens dépités, pour ne pas dire horrifiés. Certes, il ne commettait aucune faute, mais que se passerait-il si ce garçon qui n'avait aucune autorité sur un Minidraco se retrouvait avec un Carchacrock ? Quelque chose de terrible. Mais Colin était devenu assidu dans ses leçons, et il savait montrer qu'il était parfaitement capable de s'occuper des dragons. A part ce problème d'autorité, il était impossible pour eux de le déclarer inapte à posséder un dragon. Ils tentèrent alors une expérience. Ils lui donnèrent un Griknot à la place du Minidraco, pour voir ce qui allait se passer. Le résultat fut immédiat : à peine le Griknot eut-il posé les yeux sur le jeune humain qu'il se mit à l'escalader, littéralement, pour venir le gifler avec ses pattes. Une fois Colin à terre, le dragon terrestre exigea son déjeuner. Les anciens étaient à la fois fascinés et horrifiés devant un tel spectacle. L'expérience fut même renouvelée avec un Hypotrempe, un Venalgue, un Duralgon, et même un Mucuscule. Le résultat était toujours le même : Colin était le Larbin des Dragons.
Lorsqu'il eut atteint ses dix-huit ans, Colin devait présenter son Dragon à l'assemblée des anciens du Clan. Enfin, cela aurait dû se passer sans l'arrivée du Cataclysme. Les vagues de sécheresse furent terrible pour l'intérieur des terres. Le Clan tout entier se mobilisa avec le reste de la ville pour sauver le plus de Dragons possible, mais ils ne purent arrêter l’hémorragie des pertes. Colin lui-même avait participé à ces missions de sauvetage. La mort de tous ces dragons fut le dernier clou qui referma le cercueil de son enfance. Devenu plus « mature » d'une certaine façon, il avait fini par comprendre : la violence excessive était horrible, et la vie devait être préservé. Il ne serait plus un dresseur Dragon pour la puissance, il serait un dresseur Dragon qui s'occupe et soigne ses Pokémon. L'autre grande frayeur du Cataclysme fut le sort incertain de son père, toujours resté à Janusia à cause de complications. Lui et sa mère furent soulagés lorsque le visage familier du patriarche apparut enfin sur l'écran de l'appareil de communication. Unys aussi avait subit des inondations et une sécheresse d'une grande ampleur, même l'arène avait subi des pertes, mais lui il faisait partie des survivants.
Le lendemain, Colin et sa mère se présentèrent au conseil des anciens, en leur exposant leur intention de partir pour retourner à Unys. Personne n'eut le cœur de les en empêcher : ils devaient déjà faire face à la disparition de plusieurs membres et dragons, alors s'occuper du « Larbin des Dragons » et de sa mère, une étrangère au Clan... Ils pouvaient bien aller dans la Dimension de Giratina si ça leur chantait. Colin passa les années suivantes à Janusia, alternant entre études de Dressage, spécialisation du type Dragon, et des petits boulot à mi-temps. On dit qu'il fut particulièrement apprécié des patrons, spécialisé dans la courbette et le « Oui, monsieur », marqué au fer rouge par une adolescence stricte dans le respect des règles et des anciens, et des maltraitance des dragons. Pour l'heure, il virevoltait, sans vraiment savoir ce qu'il ferait exactement de sa vie. Il nourrissait toujours son rêve d'enfance, bien entendu, d'avoir un partenaire dragon et de former sa propre équipe. Il se rappelait toujours de son admiration pour Cynthia d'ailleurs. Mais après le Cataclysme hé bien... Le seul mot d'ordre était de reconstruire le présent, alors penser au futur...
Pourtant le futur se présenta le soir de son vingt-deuxième anniversaire, après avoir soufflé ses bougies. Ses parents lui remirent un drôle de prospectus. « Ce n'est pas grand chose, mais c'est tout ce qu'on peut t'offrir pour le moment... ». Le projet Ankora, la promesse d'une nouvelle terre riche en aventures et en Pokémon. « Quelqu'un devrait être là-bas et s'assurer que les Pokémon Dragon qui y vivent sont en sécurité... ». Il y eût des larmes versées ce soir là. Après trois ans, leur famille allait à nouveau être séparée. Mais c'était pour une bonne cause, et puis... Comme dit le proverbe du clan : « Le Sonistrelle doit prendre son envol pour devenir Bruyverne ». [/story]
[choixstarter]Sélection du conseil avec option choix liste [/choixstarter][starter][vignette]
https://zupimages.net/up/20/46/1sr2.png[/vignette][esp]Coupenotte[/esp]
[numero]610[/numero]
[surnom]Viserion[/surnom]
[sexe]Mâle[/sexe]
[talent]Brise Moule[/talent]
[cap]
- Gros'Yeux
- Griffe
- Morsure
- Faux-Chage
- Reproduction : Escarmouche
[/cap][/starter][/presentation]
Dernière édition par Colin Walker le Dim 15 Nov - 0:40, édité 2 fois
Okéoké (360) : Parce que tu es quelqu'un de souriant, gentil, un peu naïf, un peu simplet, et que tu n'as clairement pas l'air d'être le couteau le plus affûté du tiroir, voilà un Okéoké qui te ressemble bien ! En plus, en évoluant, il devient un peu un sac de frappe, ce que tu as l'air d'être devenu en grandissant auprès des dragons... 
Concombaffe (771) : Un Concombaffe qui est un Pokémon plutôt inoffensif au premier abord. Après tout, pour qu'il puisse vraiment attaquer, il faut lui taper dessus. Pour qu'il aille mieux, il faut également le violenter un peu, en le jetant à la mer pour lui sauver la vie. Un peu comme le "dressage" que tu as reçu. Il peut aussi, comme toi, avoir des colères imprévisibles si tu actives certains triggers et te jeter ses organes à la figure !
Verpom (840) : Pour un passionné de Dragons comme toi, il fallait bien trouver un dragon que tu puisses posséder sans que tu te fasses martyriser, voire pire par la bestiole ! Le choix le plus évident est donc Verpom, qui sera limite plus effrayé par toi qu'autre chose. A moins que vraiment tu n'aies pas de chance... 
