Sam 6 Nov 2021 - 1:36
[presentation][id][vignette]
https://i.servimg.com/u/f68/11/43/06/84/ezgif-10.gif [/vignette]
[nom]Bedwyr[/nom]
[prenom]Palamèdes[/prenom]
[age]32 ans[/age]
[sexe]Féminin[/sexe]
[region]Galar[/region]
[orientation]Pansexuel[/orientation][/id]
[carac]Avec délicatesse et minutie, la surface des choses peut être dépoussiérer. On y découvre de belles choses, douces, au savoir ancien. C’est ainsi qu’il faut s’adapter afin d’effleurer l’espèce humaine avec cette tendresse presque maternelle. Protéger le trésor en chaque chose, ne pas l’abimer.
Mais parfois, il faut plus qu’un simple pinceau !
*drop the brush*
Pour atteindre ce que l’on veut, il faut parfois cassez la roche à coup de marteau piqueur, de burin et de pioche. Et c’est avec cette verve, cette énergie, et cette violence que l’on peut alors en arriver à l’essence de ce que l’on recherche.
Une fois qu’on à enfin enserrer ses doigts autour du cœur, et qu’on sait qu’on en à la pleine maîtrise, on peut en revenir à un traitement plus adéquat, plus sécuritaire. Que ce cœur soit celui d’un être vivant, ou la roche calcique qui à remplacer les os et les chairs.
Balayer ce qui est inutile, ce qui n’a pas sa place pour récupérer la quintessence d’une relation.
Palamèdes est une femme qui à dû se faire une place dans le monde de la paléontologie. Un milieu très masculin, ou rabaisser et diminuer est le maître mot. Elle c’est donc conformer à ces attitudes, et les à fait siennes pour les adapter.
D’apparence inoffensive, et d’attitude avenantes, son caractère est des plus tranchant. Elle apprécie ou déteste au premier regard, et ne change pas d’avis. Aller contre ça, contre sa volonté en général, c’est lui donner sciemment votre énergie.
Lui chercher des noises, c’est l’ouverture parfaire pour qu’elle vous vide de vos fluides vitaux, enfin, pour vous calcifier de l’intérieur, et ne laisser qu’un être pétrifié.
Mais il n’y aucune raison d’éveiller son besoin de vous écraser, verbalement.
Déjà, car elle n’en prend pas plaisir, elle ne fait que reprendre les schémas qu’elle à appris, mais surtout, parce qu’elle tend à s’éviter ce genre de réactions.
Elle ne voudrait pas avoir un geste malheureux et risquer de briser ce qu’elle à sous la main.[/carac]
[desc]Tout parait si grand, si large, si ancien et lourd.
Ou alors, ce n’est que son mètre cinquante quatre qui joue dans sa perception des choses, et sa quarantaine de kilos toute mouillée.
Une petite tête trône sur ce corps. Deux yeux d’un vert perçants élisent domicile au creux de son visage angélique tel les joyaux de la couronne. Deux émeraudes qui peuvent rapidement passer de leurs chaleurs à une froideur méprisante. Ses traits sont fins, et son âge ne se fait pas encore ressentir, mais cela ne saurait tarder.
Les cheveux, blond platine, couronne l’ensemble de ce visage. Long, ils sont couramment attachés en chignon comme le veut son code vestimentaire.
Palamèdes n’est clairement pas ce que l’on peut appeler une grande dame. Et pourtant, elle en a adopté les manières.
Tailleur quasi obligatoire, chemise blanche, ruban, collant, ballerine, et lunette. Ce sont là ses principaux vêtements, surtout lorsqu’elle se trouve au bureau. Dans une autre mesure, elle adopte une tenue bien plus adaptée, et décontractée, lorsqu’elle doit aller sur le terrain.
Se salir les mains n’est pas un problème, elle préfère simplement étudier cette chair devenue roche après des milliers d’années plutôt que casser la caillasse en question.[/desc]
[story]Galar est une région ancienne.
Une des premières région à avoir, à l’époque, ramener des fossiles. Et à les avoir reconstitués n’importe comment.
Ce n’est non sans l’aide d’un paléontologue originaire de Kalos que les premiers fossiles et squelettes ont pu être correctement assemblé.
Evidemment, tout cela s’est passé il y a déjà plusieurs décennies. La naissance de l’étude des espèces disparues à ouvert la voie à beaucoup d’autre recherche. Mais c’est celle-ci qui, enfant, marqua une jeune fille de Galar : Palamèdes.
Son histoire est simple.
Depuis son plus jeune âge, elle éprouve une irrépressible attirance pour les cadavres fossilisés dans le temps. L’idée que chacune de ces espèces ait seulement pu exister et fouler la terre suffisent à émerveiller et charmer son petit cœur.
Elle s’est donc lancée, bille en tête, qu’elle travaillerait dans ce domaine. Et s’en est donnée les moyens.
Les années se sont passé avec une certaine simplicité.
Fille de bonne famille, elle à simplement donné son temps dans cette passion ravageante que fut l’étude des espèces disparues, et actuelles. Connais ton présent pour mieux comprendre ton passé, et inversement.
Elle ne se vanterait pas d’avoir d’avoir travaillé avec les plus grands, après tout, pour ses études, elle à bougé un peu partout dans le monde.
Kanto et son mont sélénite aux fossiles quasi apparents. Hoenn et ses fonds marins riche d’une sauvegarde ancestrale. Sinnoh et ses souterrains qui parcourent la région, cachant des mystères et des beautés sans nom. Unys et son désert dévoilant à fleur de roche ses merveilles. Kalos et ses multiples grottes rupestres. Ainsi que son propre pays.
Chaque région lui a laissé de très beau souvenirs, et elle à pu poser les doigts sur de magnifique spécimens, non ressuscité.
Elle n’a pas encore eu la chance de constater une résurrection. Et c’est peut-être ce qui lui ferait le plus plaisir. Mais en attendant, elle étudie et travail dans son domaine. Elle se plie aux ordres, suis ce que la société patriarcale veut d’elle, jusqu’au jour du Cataclysme.
Pour elle, cela représente en quelque sorte une aubaine. Après des catastrophes, on observe assez couramment de la roche éventrée, de la terre retournée, des lits de rivières éjectés. Autant d’éléments qui peuvent, du jour au lendemain, refaire surface.
Elle s’est donc lancée dans une aide approfondie et studieuse pour une étude des changements, et la réhabilitation éventuelle des lieux détruits.
Elle n’a pas fait cela de manière désintéressé. C’était aussi pour elle une façon de s’émanciper, de sortir du système majoritairement masculin et d’imposer sa marque en tant que femme.
C’est aussi pour cette raison que, 5 ans après le cataclysme, et après avoir complétement bouclé ses études, ses papiers et ses articles, elle à déposé un dossier pour le projet Ankora.
Un lieu inexploré de l’homme, enfin, jusqu’à il y à peu. Autant dire que tout est à faire, à découvrir, et à ressortir, en termes de fossiles, de créatures anciennes. Peut-être découvrirait-elle une des espèces du passés encore vivante. Après tout, on à bien retrouvé certaines de ces créatures, ou leurs descendant, dans des grottes coupées du mondes.[/story]
[choixstarter]Sélection du conseil avec option choix liste[/choixstarter][starter][vignette]
https://i.servimg.com/u/f68/11/43/06/84/artzom10.png[/vignette][esp]Terhal[/esp]
[numero]374[/numero]
[surnom]Artémis[/surnom]
[sexe]/[/sexe]
[talent]Corps Sain[/talent]
[cap]
[/cap][/starter][/presentation]
Dernière édition par Palamèdes Bedwyr le Lun 8 Nov 2021 - 23:49, édité 1 fois