[presentation][id][vignette]https://i.servimg.com/u/f94/14/22/28/18/icone_23.jpg[/vignette]
[nom]Pearce[/nom]
[prenom]Victoria[/prenom]
[age]20 ans[/age]
[sexe]Femme[/sexe]
[region]Unys[/region]
[orientation]Hétérosexuelle[/orientation][/id]
[carac]La première chose que l'on peut dire de Victoria, c'est qu'elle n'a pas franchement un bon caractère, du moins au premier abord. Elle parle mal, vous regarde mal, vous juge mal, et il y a de fortes chances qu'elle vous envoie balader. En outre, elle a très souvent l'air de mauvais poil, ou de se faire chier. Elle ne mâche pas ses mots, si vous la faites chier, elle vous le dira. Elle n'est pas quelqu'un qui va se concentrer sur le superficiel, ce qui compte, c'est ce que vous êtes. Elle est particulièrement sincère dans sa façon d'être, mais elle est aussi assez intelligente pour respecter l'autorité en vigueur, et ne pas s'attirer des ennuis avec ceux qu'il vaut mieux ne pas approcher. C'est une solitaire survivaliste, qui pense avant tout à elle. Du moins, c'est ce qu'elle tente de croire et faire croire. Car malgré tout ça, elle n'en reste pas moins quelqu'un doué d'empathie, qui pourra vous venir en aide si vous avez des ennuis. Elle le fera de mauvaise grâce, en pestant et peut-être en vous insultant, mais au moins elle vous aidera. C'est aussi quelqu'un d'intelligent, et d'investi. Quand elle veut souhaite quelque chose, elle sera capable de mettre tout en œuvre pour l'obtenir, ou l'apprendre, selon son désir. Elle peut être particulièrement têtue et bornée.

Malgré toute cette couche de mauvais caractère, Victoria reste un individu vif d'esprit, et d'une loyauté indéféctible une fois que vous avez gagné sa confiance et son amitié. Si vous en arrivez là, vous aurez une alliée capable de vous aider à planquer le cadavre de quelqu'un pour vous protéger. Mais c'est là un processus long que de gagner son amitié, car la demoiselle ne se laisse pas facilement approcher et a tendance à repousser les gens. En plus de ça, elle est atteinte de claustrophobie, phobie apparue dans l'enfance et qui a empiré avec le Cataclysme. En outre, elle a peur du noir. C'est probablement pour ça qu'elle a modifié la peinture de ses graffitis pour la rendre luminescente. Une manière d'éclairer les ténèbres...  [/carac]
[desc]Victoria est une jeune femme d'un mètre soixante-dix. Elle est plutôt fine, assez svelte, avec une délicate musculature pas trop appuyé. Elle n'est pas sportive, mais sait quand même se déplacer et fuir vite. Ses cheveux sont d'un rouge sombre, proche du violet, attachée en une queue de cheval très fournie -à part deux mèches- et coincés dans sa casquette. Ses yeux sont d'un joli bleu, et elle a la peau blanche. Sa tenue la plus classique reste une brassière de sport avec un top blanc qui laisse apparaître le ventre et les bras, mais qui couvre et met en valeur sa poitrine, un respectable bonnet C. Elle porte un pantalon qui descend jusqu'à la cheville de la jambe droite. Le pantalon est découpé sur la jambe gauche, et elle porte à la place un collant qui s'arrête mi-cuisse, le tout est noir. Elle a une grosse veste, chaude et résistante, avec un Rayguaza brodé dans le dos. Elle porte également des basket qui sont résistantes à un peu tout.  Néanmoins, il s'agit là de sa tenue de ville, elle a prévu quelque chose qui fasse un peu plus sport et randonnée pour Ankora, et beaucoup plus classique, aussi. Elle porte parfois un masque noir qui couvre son nez et sa bouche. Un point à noter néanmoins : ses cheveux ont une coloration luminescente, qu'elle a faite elle-même. Son masque a subi le même traitement pour former une bouche un peu démoniaque dans le noir. Ses vêtements sont également souvent tâchés de peinture.  [/desc]
[story]Les souvenirs de Victoria commencent à l'orphelinat de Volucité. Elle ne connait pas ses parents, ayant été abandonnée dès la naissance devant l'orphelinat. Il n'y a aucun indice, aucun moyen de retrouver sa famille, et elle n'a jamais cherché à les retrouver. Dès qu'elle fut en âge d'être mise avec les autres enfants, elle se retrouva avec eux, d'abord avec les plus petits, puis elle fut progressivement intégrée aux plus grands. Au début, elle avait peur des autres petits, qui ne lui faisaient rien, sauf lors de bagarres d'enfants classiques mais sans gravité. Mais une fois arrivée chez les grands, alors qu'elle avait cinq ans, elle commença vraiment à avoir peur. Certains grands voulaient être adoptés et devaient s'imposer. D'autres grands étaient juste malheureux, et donc méchants. Ainsi, il n'était pas rare de voir des grands maltraiter les plus petits, et les enfermer dans un climat de peur. C'est comme ça qu'un jour de visite, elle se retrouva enfermée dans le placard du dortoir. Ce jour là, l'orphelinat manquait de personnel à cause d'une épidémie de grippe, et lorsque ses camarades prétendirent à la surveillante qu'elle était malade aussi et ne pouvait pas se lever, celle-ci ne put vérifier, déjà en retard sur l'heure des visites. Victoria passa l'après-midi coincée dans le placard, à crier, à pleurer, et à frapper. Il faisait noir, elle était enfermée, elle avait l'impression de suffoquer. Elle finit par s'endormir recroquevillée sur elle-même, épuisée d'avoir tant pleuré.

Ils ne la libérèrent qu'en fin d'après-midi. Elle était affamée, épuisée, sale. Et pour le coup, elle était malade d'une certaine manière. Cette mauvaise expérience provoqua une claustrophobie assez forte chez elle. Elle détestait être enfermée, coincée, ne pas pouvoir fuir. Et elle avait également un peu plus peur du noir. Elle décida aussi, ce jour là, qu'elle ne se laisserait plus marcher dessus. Elle avait six ans, et elle était déjà prête à mordre le monde qui pouvait tenter de l'approcher. D'une gamine intimidée, elle vira à l'agression défensive. Elle n'avait pas envie de devenir comme ses tortionnaires et de s'en prendre aux autres enfants, mais elle ne deviendrait plus aussi misérable qu'elle ne l'était. Elle commença donc à se défendre. Oh, elle prenait des coups, plus qu'elle n'en donnait, mais elle avait une hargne qui finirent par impressionner les grands. Ils la laissèrent tranquille. D'autant que sa nouvelle attitude repoussait les potentiels parents, car elle transpirait cette agressivité débordante. Peu à peu, elle passa chez les grands, au fur et à mesure qu'elle grandissait, et que ses camarades étaient adoptés. Elle passa dans quelques familles, sans grand succès, parce qu'elle n'avait pas un bon caractère. Elle finit par être adopté par une famille qui avait besoin de bénéficier des aides liées à l'adoption. Ils ne maltraitaient pas la jeune demoiselle, mais ils ne s'occupaient pas d'elle de façon optimale ; elle était un peu confrontée à elle-même. Et à cause de sa manie de se défendre un peu vivement, elle n'arrivait pas franchement à sympathiser avec des gens au collège. Ses camarades ne l'approchaient pas. Ils tentèrent de se moquer d'elle, mais comme elle répondit très vite, par un brin de violence, on finit par se moquer d'elle de sorte à ce qu'elle ne puisse jamais prendre les fautifs sur le fait. Elle était seule, et ça lui convenait, du moins, elle faisait comme si.

Un soir, alors qu'elle traînait dans les rues au hasard, elle tomba sur un gang local. Elle savait que certains groupes de gens s'étaient approprié des rues, des quartiers. C'était du petit banditisme, on parlait de quelques personnes taguant les murs, et volant parfois, mais pas de guerre de gang avec armes à feux, ou vol de banque. Des petites frappes en quelque sorte, des gens paumés qui se retrouvaient ensemble, pour errer ensemble. De temps en temps, un groupe en rencontrait un autre, et ils s'affrontaient, mais ils évitaient d'attirer l'attention des flics sur eux. Ca n'en valait pas la peine.

Victoria s'attendait à se faire battre comme plâtre pour s'être rendue là où elle n'avait pas le droit d'aller, mais le gang sentit qu'elle devait être comme eux : une jeune en pleine rébellion, emplie de colère dont elle ne savait pas quoi faire. Ils l'acceptèrent sur leur territoire. De fil en aiguille, à force de les cotoyer, elle accepta d'intégrer pleinement leur groupe. Il fallait admettre une chose, leur chef était particulièrement charismatique. Bon parleur, il arrivait à fédérer les autres et à les entraîner dans son sillage, et Victoria ne fit pas exception. En outre, ils semblaient plus élevés intellectuellement que la bande de petites frappes qui composaient les autres clans.

Une nouvelle vie commença pour Victoria. D'une certaine manière, elle s'épanouissait au sein de ce groupe. Si elle se mettait à commettre quelques menus larcins, souvent alimentaire, ce fut grâce à eux qu'elle découvrit les graffitis, et il faut dire qu'elle adora ça. Elle aimait recouvrir les murs de sa patte artistique, se libérant à travers des dessins sur les murs. Oh, elle ne fut pas appréciée par la police, et fut interpellée plusieurs fois. Mais elle était trop jeune pour réellement être emprisonnée, et elle ne faisait pas de choses si graves que ça. En outre, elle développa un réel style bien à elle. Elle ne se contentait pas d'écrire des choses avec une peinture baveuse qui dégoulinait, non, elle faisait de véritables fresques quand elle eut assez d'expérience. Elle marqua la ville de sa présence, et elle en était plutôt fière. Elle excellait enfin en quelque chose.

Elle s'intégra bien au clan, et elle appréciait de passer du temps avec eux. Elle se sentait comprise par eux, c'était comme être dans une nouvelle famille. Et surtout, elle s'était éprise du leader. Il était charismatique, et il les poussait toujours à se dépasser. Elle passa bien deux années avec eux, à multiplier les graffitis, les larcins, à continuer d'aimer et de vénérer en secret leur leader. Il semblait être au courant, mais ne jamais tenter d'approcher direct. Aveuglée qu'elle était par son affection, elle ne se rendait pas compte de sa véritable nature. Leur chef était là pour les mener, dirigeait les opérations, les coups à faire, les autres groupes à repousser. Et il leur donnait la sensation de maintenir l'unité du clan, sa cohésion, sa force.

Un jour, le leader eut envie de faire un casse. Un plus gros coup que simplement dérober de l'alcool à l'épicerie du coin. Genre dérober une banque. Ils ne se contentaient que de nourriture, d'alcool, ou de piller les bases des autres clans. Là ses ambitions étaient démesurées, et Victoria doutait un peu. Elle n'avait pas envie de s'embarquer là-dedans, c'était trop grand, trop risqué.Il parvint néanmoins à l'amadouer, utilisant ses sentiments contre elle, faisant mine d'y répondre pour obtenir sa dévotion. Et elle ne put se résoudre à se dresser face à son amour. A contrecoeur, elle accepta de l'aider, chassant sa peur et ses doutes pour aider celui à qui elle avait dédié sa loyauté. Mais rien ne se passa comme prévu.

Le jour du casse fut aussi le jour où Kyogre et Groudon s'affrontèrent, ébranlant le monde. Le quartier de la ville où ils étaient subit de gros dommages. Alors qu'ils étaient dans la banque, qui faisait partie d'un immeuble, il y eut une brusque secousse, et le bâtiment s'effondra. Victoria et le chef chutèrent dans une crevasse apparut dans le sol, menant au parking souterrain, et les décombres tombèrent. Dans leur malchance, le destin leur fut favorable, les débris ne les écrasèrent pas, les enfermant juste dans une petite caverne obscure. Ils pouvaient se tenir largement debout, mais ils n'avaient guère de place en terme de largeur.

Lorsque Victoria revint à elle, il faisait noir, et elle sentait que le leader à côté d'elle était proche de la crise de nerf. Même elle n'était pas à l'aise. Sa peur du noir, sa claustrophobie revenaient en force, mais elle n'était pas seule, et elle arrivait à se calmer, et se contrôler. Mais son chef semblait prêt à craquer nerveusement, il tournait en rond dans l'espace restreint, regardant autour de lui, cherchant une issue. Ce fut elle qui aperçut, dans le tas de décombre au-dessus d'elle, une faille, une légère issue que l'on pourrait élargir en forçant contre des rochers. S'ils arrivaient à déplacer un ou deux débris, ils devraient créer une faille assez grande pour pouvoir sortir, en s'entraidant. Le leader approuva, et arguant qu'il avait plus de force qu'elle, elle devrait le porter pour qu'il puisse bouger les rochers. Elle approuva sans discuter. Elle fit la courte échelle au leader, et elle le laissa bouger les rochers divers. C'était dur, il pesait son poids, et il s'agitait beaucoup trop. Elle ne broncha pas, parce qu'il oeuvrait pour leur réussite après tout.

Il réussit après beaucoup d'efforts à libérer une sortie. Il fallait encore se hisser, c'était bien trop haut pour l'atteindre seul. Elle porta son chef, le poussant pour qu'il puisse atteindre l'extérieur, et l'appela ensuite pour qu'il vienne la chercher, qu'il l'aide à grimper. Mais au lieu de ça, l'homme eut un rire hystérique. Il craquait nerveusement, être libre faisait chuter les dernières résistances mentales. Il s'enfuit, l'abandonnant lâchement à son sort. Et ce fut au tour de Victoria de frôler la folie.

Elle passa deux jours dans son trou. Elle se brisa les ongles à force de gratter les débris pour trouver un moyen de s'enfuir. En s'acharnant à sauter pour tenter de s'accrocher à l'issue, elle retomba lourdement, et se tordit douloureusement la cheville. Elle avait faim, elle avait soif. Parfois, elle arrivait à conserver son calme, à se dire que les secours allaient arriver, qu'elle devait juste patienter, calmement. Et à d'autres moments, surtout la nuit, quand elle était piégée dans les ténèbres, elle n'arrivait pas à se contrôler. Elle hurlait, appelait à l'aide à s'en briser la voix, et ses peurs l'assaillaient, pour la briser. Elle ne supportait plus le noir, elle ne supportait pas cet endroit clos. Elle ne dormait quasiment plus, elle dépérissait, seule avec elle-même, se blessant à force d'essais infructueux. Lors de ses crises d'angoisses les plus fortes, il lui arrivait de vomir le peu de bile que son corps faisait. Et sur les dernières heures, elle oscillait entre conscience et inconscience, toujours l'esprit labourée par ses angoisses. Et au bout du deuxième jour, elle entendit des voix, des grattements. Des débris étaient projetés sur le côté, et finalement, une grosse tête d'Arcanin apparut au-dessus d'elle. La créature aboya, dirigeant les secours vers elle. Ils la sortirent de là, et l'emmenèrent aux urgences, elle avait besoin de soins. Lorsqu'elle apprit avoir passé deux jours sous les décombres, et avoir eu de la chance que l'Arcanin repère son odeur, elle sentit une violente amertume s'emparer d'elle. Elle  aurait au moins espéré que son gang s'inquiète pour sa disparition. Mais visiblement, ils l'avaient abandonné derrière eux.

Cette expérience signa la fin de son appartenance à ce groupe de rues. Elle n'y remit jamais les pieds, et les ignora lorsqu'elle les croisa à nouveau. Et depuis ce jour, elle ne supporta plus d'être dans le noir, ou dans des espaces trop restreints, trop petits. Elle avait toujours sa passion intacte pour le Street Art, mais elle voulait plus que ça. Elle passa donc sa période de convalescence à potasser un nombre incalculable de livres. Elle avait une idée, et bornée comme elle l'était, elle employa tous les moyens possibles pour l'accomplir. Ce fut à force d'apprentissage acharnée qu'elle réussit à créer sa propre peinture pour les graffitis, une peinture qui brillait dans le noir. Ce fut sa manière à elle d'expier sa peur du noir, de trouver un moyen de ne plus être dans les ténèbres à nouveau. Maintenant, ses œuvres d'arts s'illuminaient la nuit, et elle en ressentait un profond soulagement.

Lorsque les recrutements pour Ankora furent annoncés, elle se porta volontaire, et remplit le formulaire. Elle avait réintégré sa famille d'accueil depuis qu'on l'avait sorti de son trou sous la banque, et elle s'y sentait pas si mal que ça, mais elle voulait faire autre chose de sa vie, d'autant qu'elle n'avait pas eu le cœur de reprendre les cours. Elle déposa un dossier, et elle fut acceptée, à sa grande surprise. Elle prépara ses affaires, emportant un gros stock de sa peinture spéciale. S'il n'y avait pas de ville, elle ne voulait tout de même pas prendre le risque de se perdre à nouveau dans le noir et les ténèbres. Elle comptait bien les illuminer, et tracer son chemin au travers.[/story]
[choixstarter]Choix du conseil uniquement[/choixstarter][starter][vignette]https://i.servimg.com/u/f94/14/22/28/18/spodod10.jpg[/vignette]
[esp]Spododo[/esp]
[numero]755[/numero]
[surnom]Mush[/surnom]
[sexe]Mâle[/sexe]
[talent]Pose Spore[/talent]
[cap]

• Vol-Vie
  
• Etonnement
  
• Vampigraine (repro)
  

[/cap][/starter][/presentation]

Dernière édition par Victoria Pearce le Lun 29 Juil - 17:11, édité 1 fois

Bonsoir !

Nous avons pris note de ton choix, à savoir uniquement une sélection du Conseil. De ce fait, il te sera impossible de choisir un Pokémon dans la liste des starters, si nos propositions ne te conviennent pas.

Citation :

• Baggiguane : La racaille urbaine par excellence ! Malpoli, de mauvais caractère, mais qui a en fait un bon fond !
  
• Spododo : Parce que tu as peur du noir, nous te proposons un petit Pokémon mignon et apaisant, dont la lumière rassurante fera office de veilleuse réconfortante dans tes moments les plus difficiles.
  
• Chacripan : Un Pokémon félin, agile et espiègle, qui te servira de Partner in Crime lors de tes sorties artistiques dans la nuit !
  

Une fois ton choix effectué, tu peux éditer directement l'onglet Starter de ta fiche. N'oublie pas de renseigner une Attaque par Reproduction dans la liste des Capacités, si tu souhaites lui en donner une.

En outre, nous te tirons un dé de shiny, afin de voir si ton starter est chromatique, ou non !

Préviens-nous quand ta fiche est éditée avec les informations pour le starter, et la validation pourra être achevée.

Le membre 'Le Conseil' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Shiny' :

Le choix est fait ! Et j'avoue que même moi je me suis surprise là-dessus...

Citation :

Félicitations, ton dossier d'inscription a été admis, tu peux désormais prendre le bateau direction Ankora !

Nous t'invitons à aller recenser ton avatar. Tu peux également aller te réserver une place dans une des tentes mise à disposition au camp de base. N'hésite pas également à mettre à jour ton profil pour y renseigner toutes les informations indispensables ! Ta Carte Dresseur sera bientôt créée et disponible ici

Tu pourras faire ta propre demande de rp ou répondre à celles des autres là et si tu souhaites rendre service, tu peux toujours faire une mission en consultant le panneau d'affichage

Nous espérons que tu t'amuseras bien parmi nous sur Ankora, et nous te souhaitons, à nouveau, la bienvenue